Pendant cette crise, nous avons vu fleurir nombre d'initiatives autour de l'OpenEducation, l'OpenScience, l'OpenSource, l'OpenHarware, l'OpenData, bref, de tous ces mouvements vers plus de coopération entre les hommes permis par les technologies numériques.
Après une semaine de fermeture de l'université et de confinement, que de chemin parcouru. La mobilisation des équipes de la DSI et de la DIP a été exemplaire pour permettre à l'université de continuer d'assurer ses missions de formation et de recherche. Pour ça, il a fallu mettre en place ou renforcer des services permettant le télétravail et l'enseignement à distance. Les outils évoqués dans l'épisode 1 de ma chronique de cette crise sont maintenant pleinement opérationnels :
La pandémie de Covid-19 est à la fois une opportunité de développer les usages numériques qui nous permettent de garder du lien alors que nous sommes confinés chez nous, mais aussi un test en vraie grandeur sans précédent pour tester la robustesse de nos infrastructures numériques.
Dès le projet de fusion des 3 universités lilloises historiques, une étude a été lancée pour la construction d'un réseau haut débit Université de Lille. Le budget alloué pour cette opération a permis d'interconnecter 6 sites par de la location longue durée de fibres optiques noires (FON).